En
1927, son service militaire l'appelle à Tunis où il
découvre une lumière très pure qu'il fixe dans une série d'aquarelles. Pureté cristalline de la lumière qui, plus tard, émanera de ses peintures.
L'art
du vitrail le fascine également par le jeu de la lumière
dans les verres antiques, sertis dans un réseau de plomb. Il
dessinera quelques cartons de vitraux, en, 1936, "Afrique", en 1938 "Saint Ide" et "le Curé d'Ars" pour l'église de Colembert (Pas-de-Calais), enfin un vitrail à symbolisme égyptien.